Au clair de la lune chez les Africains

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il y a 5 ans
Après l’après-midi racontée dans « En jockstrap chez les Africains », suivit un bain de minuit avec, outre « mes » trois Africains et mon cousin, deux couples invités, un homme et trois femmes.

Autour de la piscine, par un lumineux clair de lune, tous étaient nus, moi en jockstrap, totalement épilé, acceptant tout ce qui avait été convenu pendant le dîner : lécher tous les culs et les chattes, boire leur pisse, recevoir des giclées de sperme dans la bouche et sur le visage, me faire ramoner et fister le trou du cul à volonté, me faire étirer le paquet bite-couilles, me faire planter des pointes dans la peau des couilles et des aiguilles médicales dans les couilles, toutes pratiques dont je suis friand, j’aime que l’on s’occupe de mon corps.

J’avais mis une condition préalable : me faire planter dans chaque fesse au moins cent épingles à tête ronde avec aiguille de 25 mm, j’en avais apporté davantage. Pour moi c’est une jouissance, hélas trop rarement réalisable, mes partenaires n’en ont guère la patience ; avec tout ce monde, l’occasion était trop belle. Ils s’y sont mis à quatre, deux préparant les épingles, trempées dans de l’alcool, deux autres les plantant harmonieusement pour décorer mes blancs globes que j’écartais à deux mains. Bien organisée, l’opération ne fut pas très longue, pendant ce temps des bites et des chattes s’offraient à ma bouche, je les satisfaisais. Heureux d’être ainsi caparaçonné, je me suis livré à mes « tortionnaires ». Combien de mains et combien de mains dans mon cul, je ne sais, ce fut long, très long, je ne sentais plus rien d’autre qu’une jouissance diffuse.

J’aime lécher des culs et des chattes, j’aime aussi me faire lécher le mien, j’aime sentir une langue s’activant dans mon fondement, je me suis appliqué à donner du bonheur à tout ce qui s’est présenté, j’ai peu reçu en retour, dommage.

M’étirer le paquet bite-couilles, je me le fais de temps en temps avec une grosse ficelle attachée, d’une part au scrotum, d’autre part aux chevilles : en me relevant j’étire le paquet, plus ou moins selon la longueur des ficelles. Là, ce fut, tous les regards tournés vers moi, avec une corde de 8 mm sur laquelle ils ont tiré à deux, s’en lassant avant moi, par crainte de m’arracher la bite et les couilles. Je bandais en pensant qu’il était peut-être possible de me suspendre ainsi, mais je n’aurais pas osé le faire avant d’avoir vu les récentes vidéos « Scrotal suspension » sur Fessestivités.

Une planchette entre mes cuisses, la peau de mes couilles bien étalée en cercles photogéniques, j’y ai moi-même planté la première pointe, elle aussi trempée au préalable dans de l’alcool, d’autres ont suivi, je ne sais combien. Ça saigne à peine, ça pique quand on appuie la pointe, ensuite je ne sens plus rien ; c’est plus spectaculaire que douloureux.

Les aiguilles médicales dans les couilles, toujours d’abord trempées dans l’alcool, c’est plus sérieux, vraiment douloureux à la perforation, qu’il vaut mieux rapide, diffuse ensuite. Chacun m’en a planté une dans chaque couille. Ils étaient huit, certains auraient continué, pour moi la limite était atteinte.

De la pisse dans la bouche et sur tout le corps, de rares giclées de sperme, d’autres s’étaient égarées dans des chattes et des culs, dont le mien. Des corps enchevêtrés autour de moi, le cousin qui continuait à s’astiquer la bite en différant la giclée par des orgasmes ruinés.

Les épingles décorant mes fesses ont été arrachées par ceux qui les avaient plantées, on m’a jeté dans la piscine, j’ai failli y dormir tant j’étais fatigué ; fatigué mais heureux.

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